« Le roman d’Olivier Paquet est très agréable à lire. Je ne me suis jamais ennuyé à sa lecture tant celui-ci est tourné vers l’émerveillement, et c’est un vrai régal au milieu de tant de livres sombres. Chapitre après chapitre on découvre les personnages du roman. Relativement nombreux, on ne s’attarde pas spécifiquement à en suivre un uniquement mais tout un ensemble de personnages d’origines différentes. Chaque chapitre peut presque fonctionner comme une nouvelle et extraite du livre pourrait se suffire à lui-même. Pas tous bien sur, mais une bonne partie quand même. Dans sa manière de conter, même si chaque chapitre peut s’autosuffire, Olivier Paquet livre des informations chapitre après chapitre et dispose des détails ici et là, offrant des précisions sur ses personnages petit à petit, donnant à son univers un contenu de plus développé. « 

Quand j’avais sorti mon premier roman Structura Maxima, Joëlle Wintrebert m’avait dit que j’écrivais mes chapitres comme des nouvelles. Heureux de voir que des critiques continuent de s’en rendre compte. Je ne ferai pas toujours comme ça, mais pour le Melkine, c’est très bien vu.

  • Le 25 septembre va sortir Bleu Argent, dans la nouvelle collection de l’Atalante, AYA, consacrée au Young Adult. C’est la première fois que je m’aventure officiellement en dehors de la littérature adulte, mais je pense que ceux qui ont lu la trilogie découvriront de nouveaux aspects de l’univers de l’Expansion. C’est de l’aventure sur un monde dont l’énergie dépend des contes que récitent les habitants, le tout dans un double-anneau monde. Les volumes de la collection AYA auront des rabats et je joins un aperçu du résultat.

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Et enfin, pour expliquer les liens entre Bleu Argent et la trilogie, j’ai écrit un petit texte qui résume le processus et ce que j’ai voulu faire dans ce roman. On le trouve sur le blog de l’Atalante.

« …comme avec la Trilogie, le désir des étoiles et la quête de vérité sont les moteurs essentiels de Bleu Argent. Si le Melkine est un héros, ce n’est pas parce qu’il est un navire spatial, mais parce qu’il incarne un rêve fondamental et que c’est une manifestation de liberté pour tout jeune (garçon ou fille, et je tenais particulièrement à ce dernier point) qui ne se contente pas des règles que la société lui impose. Cependant, cette liberté s’acquière non par la violence, mais par l’intelligence et elle constitue une source de joie incomparable. »