Trois bonnes et belles journées à la médiathèque de Meyzieu !
Tout d’abord, le temps était idéal pour un festival se tenant début mars. Soleil sans étouffer. La médiathèque se prêtait très bien à un salon de dédicaces et les auteurs pouvaient signer dans de bonnes conditions. L’affluence fut constante durant les trois jours, pas de creux trop sensible, signe que le rendez-vous était attendu et suscite de l’intérêt, même si ce n’est que la deuxième édition.
Comme c’était pour moi le premier festival de l’année, Les Oniriques étaient l’occasion de retrouver les collègues et amis. Déjeuners très sympa avec Alain Grousset, Danielle Martinigol, Xavier Mauméjean, à discuter des histoires de famille en Bourgogne, façon Dallas. Extraordinaire restaurant japonais avec Jean-Claude Dunyach, dans une ambiance calme. Quelques verres avec Sylvie Lainé, Gilles Francescano, Jeanne-A Debats et quelques moments réjouissants, mêmes s’ils furent courts, avec Pierre Bordage, Jacques Baudou, Ayerdhal, Sara Doke. Je n’oublie pas non plus, les compagnons de table de dédicace, Valérie Simon et Jean-Luc Bizien, parce qu’un bon festival, c’est aussi se trouver en compagnie de personnes que l’on ne croise pas souvent et que l’on découvre à l’occasion d’un hasard de table. Si je cite autant de noms, c’est parce que, comme l’a noté Xavier Mauméjean, il y a un côté famille dans les festivals d’Imaginaire (avec tout ce que cela peut évoquer en bien et en moins bien, mais essentiellement en bien) et que Les Oniriques furent l’occasion de rappeler cet aspect communautaire des écrivains.
Une dernière mention aux organisateurs, notamment Fred Malvesin et aux modérateurs des deux tables rondes auxquelles j’ai participé : Julien Pouget et Sara Doke. Ce fut vraiment agréable.
Autre nouvelle, durant le festival, j’ai appris que je participerai à un autre événement : les Imaginales (28-31 mai) à Epinal. J’y présenterai notamment ma nouvelle pour l’anthologie du festival dont le thème est « Trolls et Licornes » et se déroule dans une Bretagne uchronique.